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Saint Boute-en-Train : Avant de partir pour les "grands bancs", le marin granvillais fêtait joyeusement ses "derniers jours à terre". Des bals publics étaient organisés au cours Jonville, dans la rue des Balcons ; l'on y chantait : Mes chers amis / La nuit les chats sont gris / Jusqu'à demain / C'est la saint Boute-en-Train...

Les jardiniers et jardinières des campagnes normandes ont hérité de leur famille, de leurs voisins, les savoirs et les pratiques du pays. Bien sûr, le temps qui passe les a peu à peu bousculés. Mais, à les écouter, beaucoup ont su résister ! Toute une part de la culture populaire régionale, faite de petites choses, toujours significatives, accumulées depuis des "temps immémoriaux", fait aujourd'hui la richesse du modeste jardin rural.

Récit circonstancié de la bataille de Normandie de juin 1940. Pour défendre la Bresle, le pays de Caux, les ponts de la Seine... elle fit près de 2 000 morts parmi les cavaliers des 2e, 3e et 5e divisions, les chasseurs alpins de la 40e, les montagnards de la 3e, les fantassins âgés du 31e régional... Par un historien-combattant du Chemin des Dames.